José Mario Molina Pasquel Henríquez

Pour commencer trois indices pour découvrir la raison pour laquelle notre mexicain de la semaine est connu:
Vous n’avez pas pu oublier l’indice numéro 1, il a fait son apparition dans les années 90. Il fait désormais parti de notre quotidien au point que nous l’avons presque oublié, sa taille d’ailleurs a diminuée avec le temps. Ce logo nous indique que l’aérosol que vous utilisez respecte la couche d’ozone. Non pas qu’on lui a appris à s’excuser avant de polluer, on lui a, en revanche, retiré tous les mauvais gaz qu’il contenait. Ces mauvais gaz, ce sont les CFC : les Chlorofluorocarbones. Ces derniers furent utilisés dans l’industrie depuis les années 1930, à l’origine par les ingénieurs de General Motors pour remplacer le dioxyde de soufre et l’ammoniaque. José Molina fut celui qui, avec son équipe de recherche, mit en évidence leur action néfaste sur la couche d’ozone. Ces travaux lui ont valu de recevoir en 1995 le prix Nobel de chimie.
Aujourd’hui, s’est généralisée l’interdiction de l’usage des CFC. Et le fameux trou de la couche d’ozone semble y avoir été sensible. Dans les annees 2000, il avait presque disparu, mais des articles récents indique une nouvelle augmentation. Moralité : l’action de l’homme a impact mesurable sur la nature. S’il nous est possible de l’endommager, la recherche scientifique associée à la volonté politique, nous montre que l’on peut agir, à petite échelle de temps, sur notre environnement.
En novembre 2008, Molina Pasquel a été élu assesseur de l’équipe de transition de Barack Obama pour les questions d’environnement.
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